1. La Mairie ou Palais Municipal
Le bâtiment de la Mairie est de style néoclassique et fut construit entre 1865 et 1876, œuvre de l’architecte Jorge Porrúa Moreno. Il est ornementé avec décorations en terre cuite moderniste et il possède un escalier impérial et un patio central de triple arcade. À plan carre, il est structuré en deux corps. Dans la façade inferieure, on peut voir un portail avec une grande porte d’entrée et des séries de trois fenêtres avec arcs en plein cintre et grillagés, et des pilastres de style corinthien. Le corps supérieur présente le même alignement des fenêtres mais il faut souligner les pilastres corinthiens.
Au centre de la façade, il y a un balcon construit en 1879 et, sur lui, un petit kiosque avec une montre, dont son ébauche fut œuvre de l’artiste de Linares Francisco Baños Martos et sa mélodie est d’Andrés Segovia, concrètement Estudio sin Luz.
2. Royal Maison de la Munition et la Monnaie
Il s’agit d’un bâtiment du XVIIIe siècle en pierre de taille, avec réminiscences baroques et des très belles azuléjos ou carreaux de la Sainte Barbe ; s’y conservent des arsenaux gothiques et un sablier. Il fut érige par ordre de Charles III d’Espagne pour gérer la mine d’ «Arrayanes».
De la Maison de la Munition, selon les écrites conservés, ont sorti immenses quantités de munition pour approvisionner aux armées espagnoles pendant des siècles. On pense aussi qu’elle les a approvisionnées pendant la Guerre de l’Indépendance, mais en la camouflant pour la guérilla espagnole. Actuellement, c’est le siège du Trésor Public de l’Espagne à Linares.
3. Marché Municipal de Santiago
Il s’agit d’un bâtiment construit pendant la première décennie du XXe siècle. Francisco de Paula Casado y Gómez, architecte municipal de Linares a dessiné au style de l’époque. On y peut apprécier la combinaison de matériaux comme le grès et le brique qui donne un bâtiment avec réminiscences mudéjares et de style écliptique.
4. Maison des Pajares
Fernando Delgado, surnommé «El Pajares», a ordonné la construction de cette maison au XVIIIe siècle en pierre de taille. Dans sa façade principale on peut voir un balcon avec arcs doubles avec meneau. Quelques chercheurs croient que le motif de ses garguilles a traces ésotériques.
Elle fut une maison privée et, après, elle a devenu le premier hôpital de Linares par une disposition caritative testamentaire. En plus, c’est ici où s’est produit la junte révolutionnaire en 1868 pour former la Mairie et proclamer la Premier République Espagnole.
5. Église Santa María la Mayor
C’est le bâtiment le plus ancien de Linares. Selon quelques historiens, ce temple chrétien fut construit au XIIIe siècle sur une ancienne mosquée. Dans lui, les styles gothique, baroque et de la Renaissance permettent apprécier l’évolution historique de la ville.
Grâce au privilège de villazgo octroyé à la ville de Linares au XVIe, il est construit un temple gothique avec trois nefs. En 1573, Andrés de Vandelvira, l’architecte le plus important de cette époque, est engagé pour l’agrandir. Cependant, les travaux sont interrompus par la maque de moyens économiques.
Il a été détruit pendant la Guerre Civile Espagnole et le sculpteur José Nacas-Parejo Pérez est le chargé de le réhabiliter par des critères historicistes. Dans le retable majeur, plateresque et avec une forte influence italienne, on peut voir une collection de tableaux avec scènes de l’Ancien et du Nouveau Testament, présidé par le haut-relief de la Vierge de l’Assomption. En plus, il est l’auteur du tabernacle, en utilisant l’argent extrait des mines de Linares, de la chapelle du Saint Sacrement et de plusieurs tableaux (Tableau de Saint-Isidore et l’Immaculée Conception de la Médaille Miraculeuse, le tableau des Âmes et le tableau de Notre Dame du Mont-Carmel).
À l’époque actuelle, cette église a une grande collection d’orfèvrerie. Il faut souligner l’ostensoir, œuvre de l’orfèvre Morales, qui date du XVIe siècle et dont son œuvre est fini au XXe siècle.
Dans ses fonts baptismaux de la Renaissance, ils ont été baptisés des personnes très célèbres comme le frère Padilla, le musicien Fabián Ximeno, chef de l’orchestre de la Cathédrale du Mexique, le Saint Pedro Poveda, l’écrivain et Bienheureux Manuel Lozano Garrido « Lolo », entre autres. Dans son patio intérieur repose le célèbre médecin Juan Huarte de San Juan.
6. «El Pósito»
Construit en 1757, il dispose d’une façade en pierre taillée et une porte surmonté d’un arc surbaissé. Sur la porte, se trouve le blason municipal en cartouche baroque où elle est apparu par la premier fois la divise de la ville: Nunc Coepi Haec Mutatio Dexterae Excelsi, c’est-à-dire, maintenant commence mon changement à la droit du Très-Haut.
Ce bâtiment a renfermé une prison et un établissement d’enseignement spécialisé et école pour enfants en difficulté. Actuellement, il renferme le Centre d’Interprétation de la ville et le Musée de Raphael. En définitive, il contient l’histoire, la culture et la tradition de Linares, ainsi que des personnages si célèbres comme Carmen Linares.
7. Palais Dávalos Biedma
Cet emblématique bâtiment de style de la Renaissance et nobiliaire du XVIe siècle, appartenant à la famille Dávalos Biedma qui s’est établie à Linares sous la protection de la conquête chrétienne, renferme les principaux vestiges du site archéologique de Cástulo.
Sa création se doit à l’entreprenante initiative de Rafael Contreras de la Paz, qui était très préoccupé par la constante spoliation à l’ancienne ville.
8. Palais des Zambrana
Il s’agit d’un bâtiment en pierre de taille construit au XVIe siècle, il possède des blasons nobiliaires et un bastion en style maniériste. Il a deux étages, deux patios intérieurs et un grand patio arrière, son plan est rectangulaire.
Propriété de la famille Zambrana, il fut abandonné pour elle et utilisé en tant que quartier d’infanterie, maison de retraite, école industrielle, entre autres.
9. Place du Gallo (du coq)
Il y avait une ancienne auberge dans le lieu qui occupe la place, son nom était « Posada El Gallo », c’est-à-dire, « Auberge Le Coq ». Au centre de la place, se trouve une colonne surmonté d’un coq.
Juste avant d’arriver à elle et en laissant derrière nous la rue Álamos, à gauche, se situe un bâtiment du XVIe siècle, à le style de la Renaissance. Il s’agit de la maison du Bachelier Francisco et se compose d’une façade en pierre de taille, deux étages et d’un bastion avec un pinacle et le couronnement en grès et fer forgé.
10. Place d’Alfonso XII
Près de la Place du Gallo se trouve la Place Nouvelle ou d’Alfonso XII. Lorsque la Mairie a décidé construire cette place aménagée en espaces verts, le développement minier et industriel a favorisé l’établissement du premier consulat britannique dans ses environs, étant à la tête Thomas Sopwith (1872). En plus, quelques des membres de cette communauté britannique ont décidé ériger une statue en 1890. Il s’agit d’une allégorie de l’agriculture d’auteur inconnu.
11. Palais des Orozco
La volonté expresse d’Andrés Segovia, artiste universel, d’être enterré dans sa ville- à laquelle a laissé tous ses biens professionnels et personnels- fut le début de la Fundación Andrés Segovia (Fondation Andrés Segovia), constitué par un acte notarié le 8 mai 1995.
À fin de promotionner la culture et la musique et l’étudie de l’œuvre de Segovia, la Fondation offre au visiteur un musée qui lui permet s’approcher à l’international guitariste et compositeur grâce aux souvenirs personnels, au mobilier et aux documents personnels, comme par exemple, les partitions, la presse, les programmes des concerts, les photos, etc.
Ce musée fut mis en place dans un bâtiment du XVIe siècle, propriété de la famille Orozco, et déclaré Monument historique et artistique en 1962. Il a une magnifique façade en pierre de taille, on remarque sa belle porte d’accès déprimée, et sur elle, un balcon avec arcs géminés divisés par un meneau et le blason des Orozco à la partie supérieur.
Dans son intérieur, un très beau patio central à plan carré et colonnes en pierre travaillées au style toscane permettent accéder aux différentes salles, au patio et à l’ancienne cave d’huile qui est aujourd’hui la crypte où reposent les dépouilles mortelles d’Andrés Segovia.
12. Hôpital et Crypte des Marquis de Linares
Cet ensemble renferme des différentes salles, mais il faut souligner la chapelle néogothique et la crypte néo-byzantine, où se trouve un mausolée avec une sculpture des Marquis en marbre et bronze, œuvre de Lorenzo Coullaut Valera. Cet artiste fut récompensé grâce à cette œuvre et il a reçu le deuxième prix à l’Exposición Nacional de Bellas Artes, une exposition espagnole de Beaux-Arts.
Pa la volonté expresse des Marquis, en 1918, leurs dépouilles mortelles ont été déplacées de Madrid à Linares, où elles reposent.
Cet hôpital est aussi un symbole pour les passionnés de la tauromachie car c’est le lieu où le matador Manolete est mort.
13. Hôpital de Saint Jean de Dieux
Dans le fronton brisé de la façade, du XVIIe siècle et œuvre de l’architecte Eufrasio López, on peut voir une niche avec une sculpture de Saint Jean de Dieux fait par Víctor de los Ríos.
Dans son intérieur, le visiteur pourra profiter de nombreuses peintures. D’une côte, celles qui ornent la coupole principale représentent des scènes de la vie de Saint François d’Assise et son auteur est A.Pueyo ; d’autres, lui représentent avec Saint Saint Bonaventure et le Bienheureux Juan Duns Escot, quatre siècles avant de son béatification, ce qui est très curieux. D’une autre côté, José Yanguas Messía a donné un retable baroque avec colonnes salomoniques dont son motif central est « Saint François d’Assise embrassant le Christ crucifié », version en relief de la peinture de Murillo ; c’est une œuvre de Navas Parejo. En plus, la famille López Viñau a chargé Victor de los Ríos de faire le Cristo de la Penitencia (Christ de la Pénitence) et plusieurs œuvres de Féliz Granda sont actuellement dans la chapelle du tabernacle.
14. Église de San Francisco de Asís (Saint François d’Assise)
Sa façade a été finie en 1763. En pierre taillée et composé de deux corps avec niches et riches ornementations. Dans la partie inférieure, une porte avec arc en plein cintre ornementé de motifs géométriques est entourée de colonnes doriques sur des piédestaux.
Sur l’arc, il y a un tympan très grand et un médaillon avec le blason de l’ordre religieuse de Saint Jean de Dieux sur un globe terrestre flamboyant ; en plus, on peut voir une crois à gauche, symbole de la charité. Dans la partie supérieure, elle maintient sa grande exubérance ornementale en ressortant la niche avec la sculpture du saint au centre de la porte.
La richesse artistique de cette église se complète avec très belles sculptures qui appartiennent aux confréries de la Semaine Sainte de Linares qui y se trouvent, comme par exemple la Virgen de la Esperanza (Vierge d’Espoir) y el Cristo de la Expiración (Seigneur de l’Expiration), el Nazareno (Jésus Pénitent) et le Santo Entierro (Saint Enterrement).
15. Monument à l’Immaculée Conception
Au centre de la place San Francisco, près de l’Église San Francisco y du Palais de Télécommunications, s’érige une sculpture de grand taille dédiée à l’Immaculée Conception. La statue, en grès et en marbre, est œuvre de Francisco Palma Burgos.
16. Palais de Télécommunications (bâtiment Correos y Telégrafos)
Ce qu’un jour fut le cloître du couvent des frères franciscains, c’est aujourd’hui le bâtiment de la poste espagnole à Linares. Bien qu’il ait été transformé, sa façade classique avec nuances modernistes a trois grandes têtes de lions qui font de boîte aux lettres. À son intérieur, la beauté des vitraux qui couvrent tout son patio intérieur ne laissent personne indifférente..
17. Théâtre Cervantes
Le Théâtre Cervantes de Linares a son origine dans le Théâtre San Ildelfonso, construit en 1864 par Ildefonso Sánchez y Cózas, à la zone de expansion de la ville. Il s’agissait d’un bâtiment à plan rectangulaire avec façade qui donne à deux rues parallèles et d’un théâtre de style français, avec une salle en forme de fer à cheval et une scène ample et proportionnée.
Il a été reformé en 1930 pour améliorer ses conditions de sécurité et d’hygiène, et de 1952 aux années 80, il devient un cinéma.
En 1993 la Mairie de Linares achète le théâtre par 80 millions des anciennes pesetas (monnaie espagnole jusqu’à l’arrivé de l’euro). Quelques décennies plus tard ses œuvres commencent avec le but de récupérer la mémoire historique du bâtiment, en coutant environ 4,1 millions d’euros.
Actuellement, il dispose de 558 sièges et plusieurs balcons et son acoustique est comparable à celle du Théâtre Manuel de Falla de Granada. Son inauguration a eu lieu avec une actuation de l’artiste Carmen Linares.
18. Place de Santa Margarita
La place et les jardins de Santa Margarita, datant de 1880, ont été construits grâces à la générosité des Marquis de Linares. Les bustes de José Murga Reolid et Raimunda Osorio, sculptés par Víctor de los Ríos, président l’entrée des jardins.
19. Jardins de Santa Margarita
Entre 1866 et 1867, l’arène Santa Margarita a été construite grâce à l’inititative de Luís María Garnados.
L’emblématique arène, avec une capacité de 9 392 personnes, consolide sa façade en 1949. Dès son origine, elle a les murs blanchis à la chaux et albero.
L’arène avec l’anneau le plus grande de l’Espagne s’est vue considérablement réduite aux années 70 par la négative du toréro Manuel Guerra Guerrita qui a refusé de ne faire aucune corrida ici.
L’arène de Santa Margarita est connue, entre autres, parce que c’est ici où Manolete, le toréro de Córdoba, est mort l’après-midi du 28 août 1947. Il y a une plaque commémorative de cet évènement dans sa façade. Dans l’arène, il y a une chapelle lui dédié où tous les 28 août, se célèbre une messe hommage au matador.
L’arène a été toujours de passage obligé pour les amateurs de la tauromachie internationale. Des grands écrivains et intellectuels de grand prestige tels qu’Ernest Hemingway, ont profité de magnifiques après-midi de taureaux dans cet endroit.
20. Place et fontaine de la Constitution
Il s’agit d’un monument allégorique à la Constitution Espagnole composé d’une fontaine en marbre blanc et d’une sculpture qui symbolise la paix.
21. Promenade de Linarejos
Son dessin et sa construction ont commencé en 1843 et ont fini en 1875 où Linares obtient le titre de Villa, pendante le règne de Alphonse XII d’Espagne.
Cette promenade et son prolongement jusqu’à l’Ermite de la patronne de la ville, la Vierge de Linarejos, c’est un trajet presque linéal qui unit les parties ancienne et moderne de la ville.
Elle a 300 mètres de long sur 30 mètres de large, une rue central et deux rues latéraux un peu plus étroites. Toute la promenade est entourée de palmiers et abondante végétation. On remarque les lampadaires en fonte de style moderniste et les bancs avec carreaux qui montrent l’histoire de Linares grâce aux images anciennes qu’ils montrent dans leurs dos.
22. Place d’ América
Au bout de la promenade de Linarejos, vers le sanctuaire de la Vierge de Linarejos, on arrive à la place d’América. Au centre d’elle, se trouve le monument hommage à Andrés Segovia en bronze, œuvre de Julio López Hernández.
23. Sanctuaire de la Vierge de Linarejos
La Vierge de Linarejos a apparue dans l’endroit où se trouve aujourd’hui son sanctuaire, cependant, ont été plusieurs les tentatives de l’emmener à l’Église de Santa María La Mayor. Comme la Vierge revenait toujours au lieu de sa découverte, on a décidé d’y construire un petit sanctuaire.
Après de plusieurs modifications et agrandissements, le bâtiment date du XVIIIe siècle. Elle a trois nefs, une croisée du transept et le niche baroque où se trouve la Vierge. Son intérieur est ornementé de très belles peintures de Francisco Baños et des sculptures de Francisco Carulla Serra. Aussi, elle a une unique coupole elliptique, des objets en fer forgé et des ébauches de fresques du XIVe siècle, l’un des témoignages les plus anciens de Linares.
24. Gare de Madrid
Située dans un latéral de la promenade de Linarejos, cette gare a été construite par la nécessité de transporter le plomb extrait des mines de la ville. Sa forme horizontale reproduit celle d’un wagon inversé, accentué par quatre opercules (deux avants et deux arrières) comme des roues de radio d’un véhicule ferroviaire. La Gare de Madrid combine le style néo-mudéjar avec le modernisme de l’époque avec sa façade en brique rouge et en pierre. Elle a deux étages et une façade centrale.
25. Centre d’Interprétation du Paysage Minier
Situé dans l’ancien quai de chargement de la Gare de Madrid, le centre a une exposition permanente de l’activité minière. Ici, le visiteur pourra comprendre, grâce à ses cinq salles, le processus d’extraction du minéral ou le développement de la ville et de la société minière dans le domaine du District Minier Linares-La Caroline, entre autres.
Le centre se compose de cinq salles qui offrent une idée générale de ce que la minière a supposé par la ville à l’aide de panneaux et de moyens interactifs.
Dans la salle 1, il s’explique les antécédents historiques, les premiers habitants mineurs, les premières concessions et formations des files et la manière de les exploiter.
Dans la salle 2, on peut connaître le processus de transformation de la ville, son auge économique et la splendeur de l’époque.
Dans la salle 3, grâce à un couloir en forme de galerie longitudinal, on peut connaître les travaux dans la mine, les vêtements, les outils et les équipements utilisés à des époques différentes.
Pour connaître le processus de séparation, traitement et préparation du minéral, on doit visiter la salle 4. Elle nous permet nous faire une idée des méthodes utilisés pour que le métal obtienne son état le plus pur.
Pour compléter la visite, une grande maquette nous attendre, laquelle recueillit tous les exploitations minières.
Dans ce bâtiment se trouve aussi une Office de Tourisme.
26. Banco Español de Crédito (Banesto)
Ce bâtiment en grès et d’un goût historiciste préside l’un des côtés de la Place de la Constitución, près des jardins de Santa Margarita. Il remémore la première succursale du Banco Español de Crédito, dit « Banesto » (Banque nationale espagnole de crédit) qui était à la rue Calatrava, très près de son actuelle localisation, érigé en 1908.
27. Banco de España
Ce bâtiment de grandes dimensions fut construit comme succursale du Banco de España (banque nationale de l’Espagne) par l’importance que la villa a acquise grâce à l’industrie minière. Situé à la rue San Marcos, ce bâtiment est actuellement le siège de la Maison de la Culture et la Bibliothèque et l’Archive Municipal.
28. Ocho Puertas (Huit Portes)
C’est le lieu de rencontre des habitants de Linares, sous sa montre. Aussi, c’est le point d’intersection de la rue San Marcos et la rue Isaac Peral, dont sa prolongation est la rue Gumersindo Azcarate Los Riscos. Dans cette intersection se trouvent, aux quatre coins, des bâtiments de style moderniste d’une grande beauté.